Commençons par enfoncer les portes ouvertes, c’est plus facile et ça fait moins mal aux épaules : Insensibles est une métaphore. Une longue métaphore filée. À aucun moment le premier long métrage de Juan Carlos Medina n’essaie de s’en cacher, ce qui serait d’ailleurs assez vain, voire insultant. Insensibles n’est ni […]