En fréquentant quelques minutes Viktor Alexis, on se rend compte rapidement que tourner un film est pour lui une chose capitale, un besoin viscéral. Ses tripes justement, il les met dans ses films, qui sont autant de prismes braqués sur des obsessions très personnelles. Nature, amour, mort, nudité, sexe et poésie font partie de thèmes parfois hétéroclites et qui composent pourtant bel et bien l’oeuvre du réalisateur.
wow…Je conseil vivement a ceux qui ne connaissent pas de decouvrir ce real…Au fond de chaque film sommeil une part de nous…On finit forcement par se reconnaitre dans ses oeuvres,car c’est a la fois un real integre et un real qui assume ses choix….Regarder et se reconnaitre c’est assumer la part caché de nous meme….